Technologie

Attentats à Paris : Facebook active son outil « Safety Check »

Pour aider les nombreuses personnes inquiètes de savoir l’état de santé de leur famille, proches ou connaissance, Facebook a activé son outil pour les catastrophes suite aux attentats meurtriers de Paris.

Suite au terrible tsunami qui avait mutilé le Japon, Mark Zuckerberg avait déclaré : « le tremblement de terre et le tsunami de 2011 nous ont inspiré cette fonction dont la première version a été construite pour le Japon » en annonçant le lancement d’un outil spécifique pour que les gens puissent facilement est rapidement avertir leurs amis avec un « Je suis en sécurité ».

Même s’il a certainement été espéré qu’un tel outil ne doive jamais être utilisé, Facebook a déjà activé son Safety Check à plusieurs reprises, comme lors du séisme au Népal où cela avait été sa première utilisation.

Le Safety Check activé deux heures après les attentats

Suite aux attentats meurtriers de Paris, Paris a rapidement activé son outil Safety Check. En effet, il était opérationnel à partir de 23h00, vendredi soir.

Concrètement, toutes les personnes disposant d’un compte Facebook et localisées à Paris peuvent utiliser l’outil pour envoyer une notification à leurs proches pour signaler qu’ils vont bien.

Il est à souligner qu’avec ces attentats de Paris, c’est la cinquième fois que Facebook active son Safety Check.

Facebook solidaire avec la France

Le réseau social a non seulement activé son Safety Check pour permettre aux personnes d’indiquer qu’elles vont bien, Facebook a aussi tenu à être solidaire avec toutes les familles en deuil et les proches inquiets en habillant aujourd’hui son image de profil d’un drapeau français.

Toutes ces initiatives ne feront pas revenir les personnes décédées, mais elles contribuent à apaiser la souffrance en montrant simplement sa solidarité.

Si cet article a captivé votre intérêt, vous trouverez certainement les prochains tout aussi passionnants. Assurez-vous de ne rien manquer en vous abonnant à linformatique.org sur Google News. Suivez-nous aussi sur Facebook et Twitter.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page