Criminalité en ligne : 445 milliards de dollars de pertes dans le monde
Dans une étude au sujet de la criminalité en ligne, la société de sécurité informatique McAfee estime que les pertes dues à ce problème atteignent 445 milliards de dollars à l’échelle planétaire.
Si la criminalité en ligne n’était pas aussi rentable, il est certain que ce problème aurait depuis longtemps disparu. Mais le simple fait que la société de sécurité informatique McAfee estime que les pertes dues à ce problème atteignent près de 445 milliards de dollars dans le monde suffit à démontrer toute l’ampleur du problème.
Si cette criminalité en ligne peut prendre de nombreux visage, comme le vol de données personnelles, notamment financières, tous les spécialistes sont unanimes au sujet du réel problème : l’utilisateur.
En effet, alors que la technologie est devenue tellement banale avec pratiquement tout le monde qui dispose actuellement d’un smartphone et/ou d’une tablette numérique, l’insouciance et le sentiment qui prévaut trop souvent chez tous ces mobinautes.
Dans ce sens, un sondage de Norton Symantec démontre par exemple que 56% des utilisateurs ne suppriment pas les messages provenant d’inconnus ou que 42% d’entre eux de se déconnectent pas proprement des réseaux sociaux lorsqu’ils ont terminé. Si cela peut sembler pas aussi grave que cela, c’est pourtant à partir de ce genre de comportement que des personnes malintentionnées peuvent agir contre les utilisateurs, car se sont autant de portes ouvertes !
Dès lors la préoccupation de tous les utilisateurs devrait être d’ajouter une dose de prudence quotidienne à tout ce qu’il fait, par exemple de mettre des mots de passe… confidentiels et sécurisés. Cela peut paraitre trivial, pourtant de top nombreux mobinautes ne protègent pas leur téléphone, ils n’activent également pas le pare-feu, deux mesures très simples et pourtant délaissées.
Dès lors, la prudence, pas la paranoïa, soit être la bonne attitude pour ne pas contribuer aux 445 milliards de dollars que coute la criminalité en ligne.