Technologie

L’effervescence monte avant de découvrir la Bugatti Chiron

L’hypercar Veyron a tellement marqué les esprits que l’on peut se poser la question de ce qu’il en sera de la Chiron. Une chose est certaine, la présentation du nouveau bolide de Chiron au Salon de Genève est impatiemment attendue.

C’est en mars 2015 que le dernier exemplaire produit de la Bugatti Veyron avait été exposé au Salon automobile de Genève. Une année plus tard, tout le monde attend impatiemment la présentation de son successeur, la Bugatti Chiron. Que sait-on de cet hypercar hybride ? Pratiquement rien pour le moment, ce qui rend encore plus longue l’attente jusqu’au 1er mars.

À croire les rumeurs qui circulent, la Chiron pourrait avaler le 0 à 100 km/h en 2,2 secondes grâce à puissance de 1 500 chevaux et ses quatre roues motrices. Le bolide embarque sous son capot un W16 8,0 litres quadri-turbo (confirmé), épaulé par un bloc électrique. L’impatience est d’autant plus de mise qu’il va s’agir de savoir si cette voiture sera capable de battre le record de 431,072 km/h atteint par la Veyron en 2010, une vitesse qui constitue le record de vitesse pour une voiture de série.

En fait, grâce à une image teaser publiée par Bugatti, on a déjà un aperçu de la Chiron. Même si on ne peut pas voir grand-chose sur l’image, il semble que son design sera apparenté à celui de la Veyron, notamment au niveau de sa calandre en fer à cheval. Son spoiler avant semble proéminent alors que ses rétroviseurs sont excentrés.

Pour le reste, la présentation de la Bugatti Chiron sera l’occasion de connaitre tous les détails à son sujet. Pour la conduire, il est estimé qu’un acquéreur devra débourser la bagatelle de 2,2 millions d’euros pour s’offrir l’un des 500 exemplaires qui seront produits.

001_chiron_stitching

chiron_christmas_card

Si cet article a captivé votre intérêt, vous trouverez certainement les prochains tout aussi passionnants. Assurez-vous de ne rien manquer en vous abonnant à linformatique.org sur Google News. Suivez-nous aussi sur Facebook et Twitter.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page