Fermer Le Menu
Linformatique.orgLinformatique.org
    Facebook X (Twitter)
    • Accueil
    • À propos
    • Mentions légales
    • Équipe
    • Contact
    Facebook X (Twitter) Instagram Pinterest Vimeo
    Linformatique.orgLinformatique.org
    • Accueil
    • Actualités
    • Astuces & conseils
    • Technologie
      • Intelligence artificielle
    • Culture
      • Sciences
      • Economie
      • Télécom
      • SEO
      • Jeux
    Subscribe
    Linformatique.orgLinformatique.org
    Accueil»Sciences»L’ESA va tenter de mettre sur les rails son nouveau lanceur Ariane 6
    Sciences

    L’ESA va tenter de mettre sur les rails son nouveau lanceur Ariane 6

    Hicham EL ALAOUIPar Hicham EL ALAOUI2 December 2014Mise à jour :1 February 2018No Comments
    Partager Facebook Twitter Pinterest LinkedIn E-mail

    C’est réuni à Luxembourg que le Conseil de l’ESA va tenter ce mardi de mettre sur les rails son nouveau lanceur Ariane 6.

    L’Agence spatiale européenne (ESA) est une organisation intergouvernementale composée de l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l’Irlande, l’Italie, le Luxembourg, la Norvège (non membre de l’UE), les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République tchèque, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse (non membre de l’UE). La Hongrie et l’Estonie devraient prochainement adhérer à l’ESA. Sa mission est de « gérer le développement des capacités spatiales de l’Europe ».

    Alors que le budget de l’ESA pour 2014 est de 4,1 milliards d’euros, un montant bien loin des 17.6 milliards de dollars de la NASA, son Conseil se réuni ce mardi à Luxembourg pour tenter de mettre sur les rails le nouveau lanceur Ariane 6 qui se veut « la porte d’accès de l’Europe à l’espace ». En pleine période de restriction budgétaire, cette décision s’annonce délicate à prendre.

    Il faut également savoir que les plus gros contributeurs de l’ESA sont l’Allemagne (22,9%) et la France (22,6%), l’Italie (10,5%) et le Royaume-Uni (8,1%), mais aussi que l’agence fonctionne sur le principe du « retour géographique », ce qui signifie qu’elle investit proportionnellement, sous forme de contrats attribués à son industrie pour la réalisation d’activités spatiales, un montant à peu près équivalent à la contribution de chaque pays. Au moment des votes, chaque État membre dispose d’une voix, quelle que soit sa taille ou sa contribution financière.

    Voici une représentation de la future fusée Ariane 6 de l'ESA.
    Voici une représentation de la future fusée Ariane 6 de l’ESA.

    Ariane 6 ESA
    Share. Facebook Twitter Pinterest LinkedIn E-mail
    Article PrécédentWindows 8.1 supplante enfin Windows XP
    Prochain Article Smartphones : comment sera le millésime 2015 ?

    Article similaires

    Sciences

    Lumières sismiques : le mystère éclairé par l’histoire

    20 September 2023
    Sciences

    Un taxi argentin perturbe la sortie spatiale de la NASA

    26 April 2023
    Sciences

    Échec probable de la première mission lunaire privée de iSpace

    26 April 2023
    Ajouter un commentaire

    Laisser Une Réponse Annuler La Réponse

    Recherche
    Facebook X (Twitter) Pinterest
    Copyright © 2006-2024. Tous droits réservés. Monde Infos

    Type ci-dessus et appuyez sur Enter pour la recherche. Appuyez sur Esc pour annuler.

    Ad Blocker Permis!
    Ad Blocker Permis!
    Notre site web est rendu possible par l'affichage de publicités en ligne à l'intention de nos visiteurs. Veuillez nous soutenir en désactivant votre bloqueur de publicité.